[scénario Au service de Monsieur] Kalek.

"C'est ça, de toute façon je suis mort, je vais aller dormir un peu où est mon appartemment?"

"Etant donner que je n'ai plus de chambres actuellement, vous logerez dans l'écurie pour le moment..."

(Kalek, ça serait bien que tu joue un peu le jeu, j'ai prévu des quetes plus glorieuses pour toi que laver une écurie mais il faut d'abord que tu passes cette semaine de galère)

"C'était pas écrit dans le contrat ça. Elle fais 25 mètres carré au moins?é

Je m'en vais avant de le rendre fou et cherche des serviteurs, écuyer ou autre pour tapper la discut peandent ma corvée et qu"il me dise où trouver des "outils".

A peine tu t'approche des serviteurs qu'ils comprennent ta situation et souris (certain se fouttent royalement de ta pomme d'ailleur), visiblement t'es pas le premier à qui le patron fait le coup. Il y en a un qui compatit plus que les autres et te conduit à l'écurie et te montre un tas de fumier, il te conseille de mettre le fumier dans le chariot à côté car c'est le plus désagréable au niveau odeur. Il part après t'avoir donner une fourche, tu te rends compte que te connais ce chariot, c'est celui dans lequel tu a voyager une journée avant d'arriver. Par contre pas de trace de Gor et Magor ni du type du chariot.

pfffff je commence mon travail en faisant contre mauvais fortune bon coeur en m'imaginant des tortures pour ce sale elfe. Le soleil maontait dans le ciel et je commençais à avoir chaud. Je quitta donc mon armure et remonta les manches de mon t shirt bleu nuit. Je transpirait et commençais à fatiguer. Physiquemment mais mentalemment aussi car j'entendais les autres esclaves se moquer de moi. Je finit néanmoin mon travail et alors que j'aimmais à la pompe à eau, pour remplir des sceaux et finire de nétoyer cette saletée d'écurie, je m'approche des autres esclaves :

"Entendue de loin, votre discution semblait passionnente et désopilante. Vous pourriez m'en faire une synthèse afin que je puisse y participer avec vous?"

J'avais quitter mon armure mais pas mon épée.

" On parle pas avec les puants mon pauvre."

"retourne dans ton écurie tu nous incommode"

"Ouais dégage"

Ils rient tous, une profonde envie de les découper ne rondelle t'envahie MAIS MAIS MAIS: ils sont une dizaine et eux ils n'ont pas enlever leur armure, de plus fasse à leurs armes la tienne ressemble à une épée en bois...donc évite...

RAF

Je regarde celui qui m'as insulter de puant et le plaque puis, le repoussant avec ma main gauche, je lui mis un droite en visant le nez pour le casser.

....ça fait toujours un jolie bruit le nez quand ça casse...Les autres se jètent sur toi (tiens donc pourquoi ?). Tu sens qu'ils te frappe avant de t'évanouir. Tu te réveille le lendemain la tête dans le chariot (ou plutôt dans le fumier...) et tu as de sacrés bleus un peu partout. Sinon tu as toujours tes affaires te scollègues sont pas des voleurs.

(nous les druchiis, en général, quand il y a une affaire entre deux presonne et qu'aucune lame n'est tirée, personne n'intervient)

Je prend mes affaires dans les bras et part me laver. Une fois cella fait, je vétit mon armure (elle confére quoi comme sauvegarde?) je regarde mon arbalète et vérifie qu'elle est chargée. Je part ensuite vers l'entrée de la résidence et demande au garde en faction où on peut se restaurer.

(euh j'en sais rien moi faut demander à Luri)

Avant de sortir de l'écurie tu entends un drôle de bruit, le même que tu as entendu toute la nuit dans tes rêves, sauf que là c'est réel. C'est le même bruit qu'un robinet mal femé mais c'est trop régulier et surtout il n'y a pas de robinets dans l'écurie.

Dis moi, entre le purain et là la pisse de sang froids, tu n'es pas très distaingué. Je tourne rapidemment la tête vers ce bruit (au cas où ce serais pas de la pisse deSang Froid). Il me dit quoi le garde en faction?

Le bonhomme tu vois qu'on lui a tranché la gorge, quand au bruit il vient de sous le chariot et il commence à s'accéléré.

Je suis où en ce moment?

Soit je renverse le chariot pour voir ce qu'il y a dessous si je suis là bas, soit je sort mon arbalétes et regarde autour de moi si je suis vers le cadavre.

(Pour moi tu était sur le point de sortir de l'écurie avant d'entendre le bruit et voir le garde)

Sous le chariot se trouve un drôle de dispositif, un peu comme un grand sablier, le liquide qui s'écoule est vilolet, en dessous se trouve une malpierre qui s'illumine au fur à mesure que le liquide coule. Le liquide à déjà couler à moitié visiblement et c'est pas le genre de truc qui est là pour faire jolie.

* ja vais pas moisir ici moi.* Je cours vers le bureau du maitre :

"Si je vous sauve la vie là maintenant, vous et tous les elfe qui travaillent ici, elle est finie ma semaine?"

Il te regarde un peu surpris.

"Hum euh admettons oui...pourquoi ?"

"Faisons vite, des Skavens se sont infiltrés dans votre propriétée cette nuit. Il y a une machine bizare près des écuries, alimentée par la malepierre et un garde assassiné. Quoi que vous fassiez, restez près de moi. Un assassin du clan Eshin est un adversaire redoutable...."

Il semble perplexe.

" Les skavens, impossible ils ne...sauf si...non ils n'aurait pas...Montrez moi où c'est et vite"

"ça peut péter à tout moment. JE le mène en courant au lieu dit. Là, àprès m'être assuré que la machineest toujours là, je me tourne vers lui :

"Ici même." Tous mes sens sont en alerte et tente de repérer le moindre signe d'une activitée hostile."

"Bien je sait le désarmorcer."

Il s'approche du machin et commence à le tripoter. Tu vois alors le type du chariot s'approcher de lui avec une dague et un regard plutôt haineux.

chfout chouft mon arbalète à répétition tira deux fois en sa direction alors que je sautais m'interposait entre lui et le dos de mon employeur et que mon épée virevoltait vers sa gorge pour tenter de la décapiter.

Ton premier carreaux vient se planter dans un mur...Le deuxième par contre attzint sa cible qui tombe au sol raide mort. Mais pas le temps de te réjouir que tu es projeter contre le mur à ta gauche avec beaucoup de violence: - 4pv

Tu as toujours ton épée en main mais ton arbalète est tombé au pieds de celui qui t'a poussé, tu le reconnais: c'est Gor et il est pas content apparement. Le patron lui est toujours super concentrer sur la bombe à retardement.

Faut lui faire gagner du temps. Je me rapelle alors d'une phrase que m'avais dit mon père quelques jours avant mon éxil :

"Un sang Froid à un cerveau plus petit que ton poing mon fils, ils sont stupides et mettent du temps à réagir."

Avant même de réfléchir à ce que je faisait, je sauta par dessu le sang froid (atterissant du côté de sa queu) et le planta de tout mes forces avec un coup de taille.

Gor cri, visiblement tu lui a fait mal...mais c'est pas un coup mortel: -3pv pour la grosse bête. Il réplique avec un coup de queue que tu réussit à éviter.

Prenant toujours plus de risque, je me jeta à terre, sous lui puis le planta en levant mon épée avant de rouler sur le côté et de me relever à sa droite, hors de portée de sa queu.

( il a c ombien de pv?)