Le chemin vers la foret noire

Il avait esquiver mon coup pargaitement, bien qu'il soit au sol et que je me sois proojeté sur lui ! Ce doit être un grand guerrier ! Sa rapidité est à surveiller...

Je serais les dents, je voyais qu'en faite je n'avais pas affaire à un petit...

Arme en avant, dents sérré je fonçais droit sur lui, au moment d'y arrivé je faisais un tour sur moi même, cette technique multipliait l'élan, et donc l'impac n'en serait que plus lourd !!!

Je ne comprennais pas ! Serais-je si différent et si imcompétent, je penssais vraiment plus de moi !

Je venais de faire un coup plutot minable qui s'arretais à l'armure de l'homme, et il avait réussi sans trop d'effort à me taillaider.

Je ne devais perdre le combat, il fallait un plan !

Je me remaitais un place laissant s'envoler un petit nuage de poussiere, je fis tournoyer un peu mon arme pour me chaufer, puis je la mis derrière moi, et je fondais sur lui tel un scorpion, affin de mettre fin à ses jours !

Yaaaaaa

Enfin je réussissais quelque chose à ma hauteur, et je venais d'apprendre à ne pas sous estimer un adverssaire !
Je peux ne pas le respecter, mais je dois en faire attention et ne plus être aussi sur de moi.

Meur !
Disais-je en m'avançant d'un pas rapide, avec quelque gestes rapide avec mon arme.

Ton arme le transperce de part en part. Le corps de ton adversaire s'effondre au sol comme un pantin désarticulé((25xp))

Je venais d'enchainer coups sur coups, puis sans aucun mot l'homme s'éffondrait.
Avec un regard paisible, sans réaction, mise à part un petit sourir, je m'approchais du corp, d'un coup de pied je le retourne et vérifiais qu'il eut été bien mort. Et j'en profitais pour regarder se qu'il avait sur lui, peut-être qu'une de ses armes me seraient utile...

"Oh ! Trés bien, me voila avec une nouvelle arme. Adieu homme insoucien !"

Je rangeais ma nouvelle dague dans mon sac, mis l'épée à ma ceinture, et m'approchais du corp, je le déposa contre le mur de pierre.
Puis je lui tailladais le cou en faisant une croix...

Je partais en le laissant ainsi, puis reprenais mes ésprits, je redevenais vigilent et continuais à marcher...

Tu arrives à l'orée de la forêt

((post dans l'orée de la forêt))