Le chemin vers la foret noire

Fielro sur le chemin de la foret, il se retourna et declara a papy:" quel domage que Popol doivent nous rejoindre plus tard mais le bar etait vide donc on etait obligé de partir "

c'est vrai, j'espère qu'il saura nous retrouver rapidement.
Pour l'instant "A NOUS LES HOMMES BETES!"

La distance vous séparant de la forêt commence à diminuer, vous arrivez à une fourche :
A droite se situe un petit sentier creusé dans la montagne, les rayons du soleil ont du mal à vous éclairer ce chemin que l'ombre engloutit
A gauche se situe un autre petit sentier qui borde une petite forêt
Que faites vous?

((Pensez à plus décrire vos actions comme par exemple ce que vous voyez....))

Fielro repond: " oui exactement prenont se chemin, les hommes betes ne nous aurons pas aussi facilement "[/i]

"Je te suis"

Vous pénétrez dans la pénombre du chemin, vous parcourez plusieurs mètres et vous vous sentez observez.... Quelques mètres plus loin, alors que le passage se fait de plus en plus étroit, trois hommes betes vous tombent dessus, deux arrivent par devant et le dernier par derrière...

((Combat libre c'est à dire que vous décrivez votre combat et vous vous faites perdre vos PV, si le combat est réaliste ainsi que les dégats subis, je vous attribuerez de l'exp. Les hommes betes sont très endurants pensez y...))

Fielro s'ecria:" Japy derriére nous, je m'occupe de celui de deriére essaye de tenir contre les deux jusqu'a mon retour "

Fielro attaque l'homme bete d'un coup de son epée batarde mais ce dernié bloqua le coup et risposta, Fielro eu juste le temps de s'ecraté pour escivé la grande lance de l'homme bete, Fielro reattaqua enchainent ses frappe de taille et d'estoc, il reussi a plaquer l'homme bete contre 1 mur. Mais au moment de se faire depacité l'homme bete reussi a donné un coup de pied a Fielro , puis profitant de cette avantage le gor donna un coup de corne a Fielro puis charga Fielro . Fielro esquiva la charge du gor et le decapita. fielro ramasa la tete du gor et alla aider Japy .

((Fielro un combat libre doit être plus descriptif tu ne peut pas gagner d'XP avec un combat qui fait une ligne------> je te laisse éditer ton message))

Les deux hommes-bêtes me chargent de face, en même temps. j'effectue une roulade afin de me retrouver derrière eux. Tout en roulant je sors ma dague et tente d'entailler un des hommes-bêtes derrière le genoux pour qu'il s'écroule.

L'homme bete se relève alors que tu le pensais mort (il faut plus d'une flèche pour venir à bout d'un homme bete), l'homme bete que Fielro combattait tombe innanimé (Fielro +110XP : 100 pôur l'homme bete + 10 pour le role play)

((Japy et Popol faite moi une bonne description de vos combats en vous faisant perdre vos points de vie (=combat libre) et je vous attribuerais des XP en plus))

"Hum je vois ils sont plus résistants que je le croyais... je vais donc passer à l'étape supérieur"

Soudain l'homme-bête chargea surprenant popol qui le croyait demi-mort. Popol essaya d'esquiver mais ne réussit pas le coup lui infligea une grande plaie sur la jambe droite (-4PV). Popol à ce moment de rage le chargea dans son dos l'épée à la main et frappa. L'homme-bête fut touché mais non tué et s'écarta de quelques pas. Cela l'avait juste un peu étourdi. Il chargea à nouveau. Cette fois-ci popol l'esquiva prestement et reprenait son arc à la main tandis que son adversaire faisait demi-tour. Pour la troisième fois l'homme-bête chargea. Popol banda son arc et tira entre les deux yeux. La flèche atteignit sa cible. Popol se rapprocha et d'un coup d'épée tua l'homme-bête à genoux.
Puis lui cracha dessus.

"Vous paierez cela sales bêtes!"

Je vois un des homme-bete s'écrouler d'une flèche dans le dos. Je tourne la tête et aperçoit popol arc en main.

Bah enfin! J'ai cru un instant que tu t'étais défilé.

Le retour de popol me redonne une énergie sur-elfique.

En me relevant je sors mon épée et charge le dernière homme-bête. Je porte mon premier couq au torse mais il me le part avec son arme. Etant beaucouq plus fort que moi, il me repousse de deux mètres. J'en profite pour me décaler et de l'attaquer sur le coté. Je lui entaille la jambe mais il me répond par un méchant coup de coude en pleine face (-1pv). L'homme-bête pose un genoux à terre mais je suis sonné. Je me resaisi et le frappe violament avec mon épée à l'abdomen. Mais durant la charge il me plante sa dague dans mon bras gauche (-2pv) et enchaine par un coup de boule (-1pv). Je tombe en arrière mais l'homme-bête ne peut poursuivre son attaque car mon coup à l'abdomen la sérieusement touché. Il se tient le ventre, un genoux à terre et essai de reprendre son souffle. Sachant qu'il faut agir tout de suite si je ne veux pas mourrir, je le charge et les deux mains sur mon épée je lui transperce le torax.

Fielro regarda autour de lui, et constatant qu'il ne restait plus d'hommes betes vivant il se mit a ramasser la tete du sien avant de déclaré:"Enfin Popol !!! pas trop tot !!! enfin par contre ont a vider toutes les provision d'alcool en t'attendant, bon maitenant que tu es la chef ont va ou ? "

Sur les cadavres, vous ne trouvez rien d'interressant, sauf peut être les armes des hommes bètes qui ne sont guerre utilisables, les lames sont éfilées et rouillées. Vous continuez votre chemin...

((japy 100 XP pour l'homme bete + 40 pour le role play. popol 15 pour en avoir blessé un avec ta flèche))
(( vous arrivez à l'orée de la forêt poster dans l'orée de la forêt))

Voila, j'étais enfin sortis après quelque minutes de marche, je marchais d'un pas préssé sur le chemin sinueusement déssiné sur le sol...
La forêt était plutôt inquiettante, j'avais comme un mauvais présentiment.

Mais moi Surion je ne craignais plus rien maintenant, à moin que...

Je continuais mon chemin en regardant trés souvent de droite à gauche arme au poing...

l'altitude des sol commençait à serieusement baisser.

Puis j'arrivais à une sorte de passage, arme à la main et plus vigilent que jamais je marchais en me serant un peu pour ne pas m'écorcher sur la paroi.

L'endroit était propice au embuscades... Il falait faire trés attention.

Le soleil commençait à me tapper sur les nerf, avec ce soleil éclatant, trop chaud et trop claire.

J'avançais à pas feutré, mais quelqu'un m'attendait déjà, et m'observait depuis pas mal de temp.

Quand d'un coup il se projetta sur moi, j'y un sursot, mais le vis tomber à quelque pied de moi... ouf.

De la chaire fraiche ! Et du sang, me voila devant un bon diné !
Disais sans vraiment le vouloir.

Je remarquais que j'étais déjà entrein de me précipiter sur lui, sautant carrément sur le brigand au sol pour l'éventrer...