Le temps se pretait parfaitement à ce type d'éxpédition, ce jour là; les nains parlaient entre eux et riaient. Certaines longues barbes grommelait en évoquant entre eux des souvenirs de jeunesse vecu ensemble. Le départ était porté par une omniprésence de joie et de bonne humeur...même les deux frères, qui voulaient d' abord affirmer leur superiorité, rejoignèrent vite la gaité générale qui émanait de ce cortège de nain.
Au bout de quelques heures, la plupart des nains s' étaient tus, et seuls les plus vieux continuaient leur discution sur les temps où les nains étaient à leur éssort. Certaines réfléxion revenaient souvent: "...c'est à cause des elfes..." ou "...qu' est-ce qu' on leur à mis..." ou encore "...et on l' a appelé Gurgil cul brilland, AHAHAHAH...".
Les moins endurant commencaient à se plaindre de la fatigue, des maux de jambes et autres désagrément du voyage. L'un des frères ne voulait surtout pas s'arréter avant la nuit, comme si rien n' était plus cher à ses yeux que la reconnaissance de son vieux père, mais son ainé, plus raisonnable, le convint de s' arreter pour faire une pose.
Un soupir de soulagement parvenu de l' ensemble des rangs désormais totalements chaotiques.
Après une coute pause, le frère cadet ordonna la remise en marche des nains en criant :"Aller, on est des vrais nains ou on l'est pas, alors on y va!!!"
Au moment ou nous voulions repartir, deux nains manquèrent alors à l' appel...on venait de remarquer cette absence quand soudaiin un crie inhumain parint de derriere un bosquet. Les deux nains réapparurent avec un gobelin des forets à leur pieds. Après une petite séance plus que persuasive, le gobelin finit par avouer la position d' un campement d' une dizaine de gobelins dans les environt. Le gobemin nous raconta qu'il était éclaireur et que ses frèreset lui nous avaient repérer et avaient l' intention de nous attaquer à notre première halte nocturne.
On acheva le gobelin avant de porsuivre notre route.A la nuit tombée, l' éxpédition décida de creuser des pièges autour du campement à cause des aveux du peaux verte.
Peendant la nuit, nous nous sommes effectivement bien fait attaquer, sauf que le gobelin avait menti sur un point: les gobelins étaient une quarentaine.
C'est le bruit du râle mortuaire spécifique au gobelins nous firent tous nous réveiller d' un songe.
Une grande partie des gobelins furent détruis à cause de nos pièges, nous laissant le temps de saisir nos armes. Les nains les plus lents se firent sauvagement nnihiler par l' assaut de ces petites créatures. La morts desept de mes frères nains me mirent en rage, Je saisis alors ma hache et en tua deux d' un seul coup.
Cette satifaction était plus que passagère, puisqu'une lame vint se planter dans ma jambe droite. J' attrappa la lame, la sortit dans un crie de douleur de ma chaire avant de porter un coup de bouclier magistral au gobelin désormais désarmé. Les nains se batirent bravement, fidèles à eux mêmes. Aucun gobelin ne survécu, mais c fut au prix de neuf frères en tout.
Après cette nuit agité, l' ambiance lugubre de deuil était omniprésente dans les rangs et mêmes les vétérans avient cesser leur grommelement.
La suite du voyage se passa sans mésaventure, mais avec un fardeau nouveau que portaient alors tous les nains: la soif de vengeance.